Des partouzes depuis l'Antiquité : déjà les grecs et les romains nous ont laissé leurs témoignages de leurs triolismes et de leurs orgies.
L'amour à plusieurs permet de démultiplier les combinaisons possibles, et de jouer beaucoup plus intensément avec la simultanéité d'activités passives et actives.
Pendant plusieurs siècles, les vases grecs vont jouer avec des représentations des différents cas de figure. Déjà un simple groupe de deux hommes et d'une seule femme offre un grand nombre de variantes. Par exemple, la femme est à quatre pattes ; un homme, derrière elle, appuyé sur ses reins, la pénètre ; elle a dans la bouche le sexe de l'autre homme, penché sur elle, lui caressant les épaules. Mais les trois peuvent être debout ; la femme, pliée en avant, est pénétrée par l'un tandis qu'elle se retient aux hanches de celui dont elle goûte le sexe. Ou encore : la femme est allongée à plat ventre sur une table qui met son vagin et sa bouche à la bonne hauteur pour les deux hommes qui la pénètrent de leur sexe.
Dans ces partouzes, tous peuvent aussi s'allonger : la femme se couche cuisses écartées sur l'homme qui la pénètre vaginalement. Le deuxième homme se place dans son dos pour pouvoir réaliser une pénétration anale. Cette position du sandwich donne la solution à la vieille énigme : "deux pénètrent et deux sont pénétrés, et pourtant ils ne sont que trois..."